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COMMUNICATION AFFICHÉE N°1


Morbidité néonatale après retour à domicile sur une cohorte de nouveau-nés pris en charge dans le cadre de l’accompagnement global en maison de naissance

Bianca Coluccio


INTRODUCTION
Bien qu’abondante sur les issues maternelles et néonatales des accouchements hors hôpitaux, la littérature internationale laisse à désirer sur leurs problématiques post-natales, pourtant importantes à traiter pour améliorer la santé individuelle et collective.

Les études sont rassurantes sur la question de la santé des nouveau-nés (nnés) lorsqu’ils ne sont pas hébergés à l’hôpital pendant leurs premiers jours de vie. Mais elles se rapportent à des pays où la naissance hors hôpital est intégrée au système de soins depuis de nombreuses années. En France, leurs résultats sont à interpréter avec précaution puisque l’offre de soins périnatale est organisée différemment. Ainsi, et dans le contexte actuel d’expérimentation, il était pertinent de s’intéresser à la morbidité néonatale dans le parcours d’accompagnement global (AG) en maison de naissance (MDN), dans lequel la sage-femme (SF) est le professionnel référent.

Les objectifs étaient d’estimer la fréquence des réadmissions (RéAdm) après un retour précoce à domicile avant 24h de vie (RPAD<24h) jusqu’au 28ème jour de vie (J28) et d’évaluer l’éligibilité des nnés au RPAD ainsi que la conformité de leur suivi.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row gap= »35″ content_placement= »top »][vc_column width= »1/4″][vc_single_image image= »329″ img_size= »full » el_class= »zoooom »][/vc_column][vc_column width= »3/4″][vc_column_text]

COMMUNICATION AFFICHÉE N°2


Vécu des femmes qui ont accouché pendant la période de confinement liée à l’épidémie du Covid-19 (17 mars – 11 mai 2020)

C.Walquan , P. Chariot, T.Lefèvre


INTRODUCTION
Touchant la population dans son ensemble, l’épidémie de Covid-19 peut provoquer des problèmes de santé, mais aussi susciter inquiétudes et questionnements. Les données disponibles suggèrent l’absence de transmission verticale au foetus. Aucune foetopathie n’a été rapportée. Notre objectif était de recueillir et d’analyser la perception du vécu d’une naissance lors du confinement, à tous les stades de la grossesse, de l’accouchement et du post-partum.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row gap= »35″ content_placement= »top »][vc_column width= »1/4″][vc_single_image image= »324″ img_size= »full » el_class= »zoooom »][/vc_column][vc_column width= »3/4″][vc_column_text]

COMMUNICATION AFFICHÉE N°3


Approcher la famille grâce à une méthodologie d’inspiration ethnographique

Sandrine Millones, doctorante UPEC/LIRTES


Penser la parentalité comme « le métier d’être parent » (O’Connor, 2002) renvoie à des notions d’aptitudes et de compétences à acquérir et s’oppose à une conception dans laquelle les parents sauraient s’occuper de leur enfant d’une façon innée. La parentalité est vue comme un apprentissage qui se construit à partir de séries d’actions et de situations de vie, routinières ou inattendues, dépendantes d’un environnement qui est « le monde auquel nous devons nous adapter en même temps qu’il est la boîte à outils dont nous avons besoin pour y parvenir » (Brüner, 1991).

Au fil du temps et des situations rencontrées, les parents expérimentent ce que Patrick Mayen appelle « un parcours de situations potentielles de développement » (Mayen, 1999) où ils construisent une expérience parentale, tel un processus de formation et de transformation. Dans cet environnement dynamique et évolutif, ils adaptent, développent et actualisent leurs compétences parallèlement aux acquisitions de leur enfant. Ces situations peuvent donc être définies comme « situations d’apprentissages réciproques » (Thievenaz, 2018) puisque, dans chacune d’elle, les nouvelles formes d’adaptation mises en place par les parents se superposent et s’alimentent des nouvelles formes d’adaptation de leur enfant, et de nouveaux apprentissages sont réalisés d’un côté et de l’autre de la relation.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row gap= »35″ content_placement= »top »][vc_column width= »1/4″][vc_single_image image= »327″ img_size= »full » el_class= »zoooom »][/vc_column][vc_column width= »3/4″][vc_column_text]

COMMUNICATION AFFICHÉE N°4


Échographie intrapartum : évaluation prospective de l’impact de la formation des sages-femmes sur l’organisation des soins

Sandrine Millones, doctorante UPEC/LIRTES


OBJECTIFS
Évaluer l’impact d’un programme de formation continue destiné aux sages-femmes de salle de naissance (SF-SdN) sur les modalités de réalisation des échographies intrapartum (recours à un médecin et délais de prise en charge)(I). Quantifier, pour l’identification de la variété de position fœtale (Fetal Occciput Position – FOP), la proportion d’examens valides réalisés par les SF-SdN à l’issue de la formation (II).
M & M : Des ateliers d’échographie (3 heures) comportant des exercices sur simulateur haute-fidélité et des cas cliniques ont été implémentés à la formation continue des SF-SdN d’un centre de niveau 3 de façon à former l’ensemble de l’équipe sur un période identifiée de 3 jours. Une évaluation avant/après, sous forme d’audits permettant le recueil prospectif et systématique des échographies intrapartum (indication, identification des praticiens demandeurs et opérateurs, délais entre demande et réalisation) a permis de quantifier l’impact de cette formation sur le nombre de recours au médecin de garde et sur les délais induits par ces recours (I). Pour les examens réalisés par les SF-SdN à l’issue de la formation, les proportions de FOP valides (variété de position confirmée à l’accouchement ou par un second praticien) et non valides (erreur ou échec d’identication) ont été quantifiées (II).[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row gap= »35″ content_placement= »top »][vc_column width= »1/4″][vc_single_image image= »318″ img_size= »full » el_class= »zoooom »][/vc_column][vc_column width= »3/4″][vc_column_text]

COMMUNICATION AFFICHÉE N°5


Présentation du siège et traumatismes néonataux – Etat des lieux des connaissances et des pratiques des étudiants sages-femmes en denière année de cursus

Sarah Géraci, Sandra Maccagnan, Alexandra Musso


INTRODUCTION
3 à 4% des foetus à terme sont en présentation du siège en fin de grossesse. 19,5% des sièges accouchent par voie basse en France. Les recommandations de bonnes pratiques sont de favoriser la voie basse si les conditions obstétricales sont respectées et les équipes formées et entraînées. La problématique est de former les professionnels et futurs professionnels à une situation encore peu fréquente.
Par ailleurs, la réforme du cursus de maïeutique a entraîné une diminution importante du volume horaire de stage en salle de naissance.
La littérature évalue le plus souvent la morbi-mortalité néonatale des sièges en comparant les issues des césariennes programmées versus les tentatives de voie basse, mais pas la réalisation et la maîtrise par les accoucheurs des manoeuvres obstétricales pourtant potentiellement délétères lorsqu’elles sont mal réalisées.
A notre connaissance, aucune étude n’a été conduite en France auprès des professionnels ou étudiants, tous cursus, sur l’acquisition des manoeuvres du siège et la connaissance de leurs risques pour l’enfant.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row gap= »35″ content_placement= »top »][vc_column width= »1/4″][vc_single_image image= »315″ img_size= »full » el_class= »zoooom »][/vc_column][vc_column width= »3/4″][vc_column_text]

COMMUNICATION AFFICHÉE N°6


Évaluation de la peur de l’accouchement chez les femmes enceintes

Riquet Sébastien, Henni Mélissa et Fremondiere Pierre


INTRODUCTION
Environ 80% des femmes enceintes expriment de la peur à la perspective d’accoucher. Cette peur normale est fréquente. Elle ne doit pas être confondue avec la tocophobie, un trouble anxieux s’accompagnant de conduites d’évitement durant la grossesse pouvant devenir invalidantes tant au niveau émotionnel que somatique. Dans la littérature beaucoup d’études évaluent la pathologie tocophobique mais la peur normale de l’accouchement en tant que telle est peu apprécie. Une échelle psychométrique d’Évaluation de la Peur de l’Accouchement (EPA) existe et a été validée en langue française. L’objectif de l’étude a été d’évaluer le niveau de peur de l’accouchement chez des femmes enceintes faisant suivre leurs grossesses dans deux maternités d’un CHU de niveau trois. La participation à des séances de Préparation à la Naissance et à la Parentalité (PNP) devrait diminuer cette peur chez les participantes. La participation à une PNP a été prise en compte pour identifier si ces séances ont eu un effet sur la peur de l’accouchement durant la période prénatale.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row gap= »35″ content_placement= »top »][vc_column width= »1/4″][vc_single_image image= »317″ img_size= »full » el_class= »zoooom »][/vc_column][vc_column width= »3/4″][vc_column_text]

COMMUNICATION AFFICHÉE N°7


Facteurs de risque de complications maternelles et néonatales des patientes déclenchées à terme

M.Trividic, E.Chamorey, B.Thamphya, F.Abdelillah, L.Barbier, T.Cintas, S.Maccagnan, J.Delotte, A.Musso, J.Florentin


INTRODUCTION
22,6% des femmes en France ont eu le travail artificiellement déclenché, toutes modalités confondues, principalement pour motifs médicaux. Les recommandations de pratiques cliniques sont précises quant aux indications et modalités de déclenchement mais ne renseignent pas le suivi du travail.
Objectif : Déterminer les issues d’accouchement et les complications materno-fœtales dans une cohorte de femmes dont le travail a été déclenché pour motifs médicaux.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row gap= »35″ content_placement= »top »][vc_column width= »1/4″][vc_single_image image= »328″ img_size= »full » el_class= »zoooom »][/vc_column][vc_column width= »3/4″][vc_column_text]

COMMUNICATION AFFICHÉE N°8


Diagnostic prénatal du syndrome d’Aicardi : Étude rétrospective multicentrique

Aurore Galmiche-Aguillé


INTRODUCTION
Le syndrome d’Aicardi est une encéphalopathie développementale à prédominance féminine et de cause inconnue. C’est une maladie rare et son diagnostic repose sur l’association de critères cliniques du fait de l’absence d’étiologie génétique identifiée à ce jour.

Le syndrome d’Aicardi, est composé d’une triade classique associant une agénésie totale ou partielle du corps calleux, des lacunes chorio-rétiniennes et des spasmes épileptiques infantiles. Objectifs : L’objectif principal de ce projet est de décrire les signes prénataux, visibles par échographie et / ou IRM, du syndrome d’Aicardi, afin de proposer une définition applicable au diagnostic prénatal.
L’objectif secondaire est de corréler ces signes prénataux avec l’imagerie postnatale / post mortem et l’examen clinique.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row gap= »35″ content_placement= »top »][vc_column width= »1/4″][vc_single_image image= »319″ img_size= »full » el_class= »zoooom »][/vc_column][vc_column width= »3/4″][vc_column_text]

COMMUNICATION AFFICHÉE N°9


Les préparations pour nourrissons enrichies en pré et/ou probiotiques ont elles un effet pour la santé du nouveau-né sain, né à terme ?

Sébastien Riquet, Sara Djoudi, Estelle Wolff


INTRODUCTION
En France 47,8% des nouveau-nés sont allaités dès la naissance avec des Préparations Pour Nourrissons (PPN) dont 33,3% exclusivement. Depuis les années 2000, les PPN enrichies en pré et/ou probiotiques ont montré des effets cliniques bénéfiques sur la santé et le microbiote des nouveau-nés à risques (prématurés, nés par césarienne, nécessitant une antibiothérapie…), mais ont elles un effet chez le nouveau-né sain, né à terme par voie basse, dont la prise en charge nutritionnelle relève des compétences de la sage-femme.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row gap= »35″ content_placement= »top »][vc_column width= »1/4″][vc_single_image image= »326″ img_size= »full » el_class= »zoooom »][/vc_column][vc_column width= »3/4″][vc_column_text]

COMMUNICATION AFFICHÉE N°10


Femmes relais de Camopi: soutien à la parentalité par les pairs. Un programme de patientes expertes porté par le réseau de santé périnatale de Guyane


INTRODUCTION
Le réseau de périnatalité de Guyane a créé en début d’année 2019 un projet de patientes-expertes pensé pour la commune de Camopi, située le long du fleuve Oyapock. Celui-ci répondait à la demande de solutions, formulée par les résidents de la commune, en termes de prise en charge périnatale et de communication entre les acteurs de cette période très spécifique de la vie d’une femme et de son enfant.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row gap= »35″ content_placement= »top »][vc_column width= »1/4″][vc_single_image image= »330″ img_size= »full » el_class= »zoooom »][/vc_column][vc_column width= »3/4″][vc_column_text]

COMMUNICATION AFFICHÉE N°11


Anémies corrigées par Ferinject® et Culots Globulaires Sanguins durant la grossesse : Sont-elles prévisibles ?

Victoria Battesti, Jérôme Delotte, Sandra Maccagnan, Alexandra Musso


INTRODUCTION
La prévalence de l’anémie dans le monde est de 38,2%. L’anémie gravidique est définie par une hémoglobine (Hb)<11g/L au 1e et 3e trimestre (T1-T3). Le déficit en fer en est la cause la plus fréquence il est majeur lorsque la ferritinémie est inférieure à <30μg/L. Elle entraîne une augmentation de la morbi-mortalité maternelle et fœtale. La littérature renseigne sur les facteurs de risque (FDR) d’anémie avec des causes antérieures et extérieures à la grossesse. La supplémentation en fer est recommandée par toutes les sociétés savantes mais sans consensus sur les modalités d’administration du traitement, tout comme pour les examens biologiques exploratoires. En France l’HAS recommande le dépistage biologique de l’anémie gravidique par un hémogramme au 6e mois de grossesse en l’absence de FDR de carence en fer et lors de la 1e consultation prénatale en présence de FDR. Aucun marqueur du métabolisme de fer est mentionné. Pourtant 25% des anémies ferriprives persistent malgré la supplémentation per os (PO). La littérature n’établit pas de caractéristiques concrètes qui entraineraient une anémie sévère en fin de grossesse chez des femmes avec un suivi prénatal régulier, supplémentées PO au besoin, en l’absence de FDR.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row gap= »35″ content_placement= »top »][vc_column width= »1/4″][vc_single_image image= »323″ img_size= »full » el_class= »zoooom »][/vc_column][vc_column width= »3/4″][vc_column_text]

COMMUNICATION AFFICHÉE N°12


Communication Sages-femmes-parturientes et perception des mères de nouveau-nés de la maternité du Centre Hospitalier Universitaire Yalgado Ouedraogo

Paul Sibiri Ouedraogo, Pr Charlemagne Marie R. Ouedraogo, Dr Roger Zerbo


INTRODUCTION
La communication fait partie intégrante des aspects de la relation de soins de santé. En effet, de nombreuses femmes font l’expérience d’un manque de confidentialité, d’agressions verbales, d’absence de consentement éclairé et de non-respect de leur intimité. De nombreuses plaintes contre les soignants relèvent d’un problème de communication et d’information, notamment le manque d’écoute du soignant. Nous avons connu donc à travers cette étude les perceptions des mères de nouveau-nés de la maternité du CHUYO sur la communication entre les parturientes et les sages-femmes.
Nous avons utilisé une méthode qualitative de type étude de cas. La collecte des données a lieu au CHUYO du 25 Novembre au 30 Décembre 2019 et a consisté en des entretiens semi-dirigés, une observation non participante et une revue documentaire. L’analyse des données a été faite manuellement selon le modèle d’analyse thématique de Braun and Clarke (2006).
Les résultats révèlent un environnement physique inadapté à la communication efficace au cours du travail d’accouchement. Aussi nos résultats révèlent une communication verbale et une communication non verbale globalement marqué par des défis en termes de compassion, d’empathie, de consentement et surtout de feedback.
En somme cette étude a permis d’explorer les perceptions de la communication des mères de nouveau-né de la maternité du CHUYO. Des défis existent mais la mise en œuvre des suggestions proposées permettra sans doute d’améliorer la situation.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row gap= »35″ content_placement= »top »][vc_column width= »1/4″][vc_single_image image= »320″ img_size= »full » el_class= »zoooom »][/vc_column][vc_column width= »3/4″][vc_column_text]

COMMUNICATION AFFICHÉE N°13


Accouchement par voie basse et par césarienne : expériences et vécus de femmes en France

Clémence Schants, Anne-Charlotte Pantelias, Myriam de Loenzien, Marion Ravit, Patrick Rozenberg, Christine Louis-Sylvestre, Sophie Goyet


INTRODUCTION
L’accouchement a été biomédicalisé et biotechnicisé partout dans le monde, entrainant des changements médicaux mais aussi sociaux majeurs. En France, la quasi-totalité des accouchements a lieu dans l’enceinte de l’hôpital ; pourtant, très peu de recherche ont été menées pour savoir quels liens les femmes françaises entretiennent avec les biotechnologies obstétricales, et notamment la pratique de la césarienne.
En 2017-2018, et à travers une méthodologie mixte (quantitative et qualitative), nous avons mené une recherche sociologique dans deux maternités parisiennes afin de mesurer la préférence des femmes concernant leur voie d’accouchement et afin de saisir leur vécu et satisfaction par rapport à leur expérience de l’accouchement. Pour cela, nous avons mis en place une cohorte de femmes interrogées pendant leur grossesse par questionnaires (331) puis après leur accouchement. Nous avons aussi mené des entretiens semi-directifs avec 26 femmes enceintes et accouchées.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row gap= »35″ content_placement= »top »][vc_column width= »1/4″][vc_single_image image= »316″ img_size= »full » el_class= »zoooom »][/vc_column][vc_column width= »3/4″][vc_column_text]

COMMUNICATION AFFICHÉE N°14


Activité physique et grossesse : Etude observationnelle transversale des connaissances des patientes et des professionnels de santé

Laurianne Roy-Camille-Kiriolet, Marielle Bourgeois, Alexandra Musso, Sandra Maccagnan, Jérôme Delotte, Toni Gouazé, Alexis Jordan


INTRODUCTION
La sédentarité est le 4ème facteur de risque de mortalité. Si les femmes en population générale en France représentent 37% des licenciés, tous sports confondus, 54% des français ne suivent pas les recommandations d’activité physique (AP) minimum quotidienne. L’AP pendant la grossesse présente de nombreux bénéfices pour la mère et l’enfant avec des niveaux de preuve élévés. Pour les femmes sédentaires ou peu actives, les recommandations sont de pratiquer une AP pendant 30 minutes au moins 3 fois par semaine. Hors contre-indication médicale/obstétricale, le panel d’activités possibles est large. Les enjeux sont donc de concilier le bon déroulé de la grossesse et la poursuite d’une AP sans risque. La littérature renseigne peu sur la qualité des informations reçues par les femmes enceintes et le discours des professionnels de santé sur l’AP durant la grossesse.
Les objectifs sont d’évaluer les informations reçues par les femmes enceintes et la connaissance des professionnels de la périnatalité sur la pratique du sport durant la grossesse. Un des objectifs secondaires est d’estimer les complications materno-fœtales dans une population qui pratique une AP pendant la grossesse.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row gap= »35″ content_placement= »top »][vc_column width= »1/4″][vc_single_image image= »322″ img_size= »full » el_class= »zoooom »][/vc_column][vc_column width= »3/4″][vc_column_text]

COMMUNICATION AFFICHÉE N°15


Prévalence du syndrome d’apnées hypopnées obstructives du sommeil dans une population de patientes atteintes de grossesse pathologique

Chloë Mallet
Étude pilote observationnelle


INTRODUCTION
Le Syndrome d’Apnées Hypopnées du Sommeil (SAHOS) est caractérisé par la survenue d’arrêts ou de limitations du flux ventilatoire pendant le sommeil. Le SAHOS est défini par un index d’apnées-hypopnées (IAH) > 5/h mesuré par polysomnographie (gold-standard) ou polygraphie ventilatoire.
L’augmentation de l’IMC pendant la grossesse et la modification des voies aériennes pourraient être des facteurs de risque d’apparition de SAHOS. Pendant la grossesse, la prévalence serait de 15%, mais elle semble sous-estimée. Ce syndrome serait un facteur de risque de pré-éclampsie, d’hypertension artérielle (HTA) gravidique et il augmenterait les complications opératoires, comme en cas de césarienne.
L’objectif de cette étude était d’évaluer la prévalence du SAHOS chez des patientes hospitalisées pour une grossesse pathologique.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row gap= »35″ content_placement= »top »][vc_column width= »1/4″][vc_single_image image= »325″ img_size= »full » el_class= »zoooom »][/vc_column][vc_column width= »3/4″][vc_column_text]

COMMUNICATION AFFICHÉE N°16


Impact des modalités de suivi (présentiel vs à distance) sur les grossesses à bas-risque en période de confinement : Protocole de l’étude PROTECT (imPROving prenaTal carE during ConfinemenT)

Léonore Avercenc, Charline Bertholdt, Nadine Juge, Paul Berveiller, Olivier Morel, Francis Guillemin, Gaëlle Ambroise


CONTEXTE
La pandémie de COVID-19 a entraîné une modification rapide et non anticipée des modalités de suivi obstétrical notamment par la mise en place d’un suivi à distance des grossesses à bas risque.

OBJECTIFS
1) Comparer, pour les grossesses à bas risque sans suspicion d’infection à SARS-CoV-2, la perception des soins prénataux des femmes ayant bénéficié d’un suivi à distance à celle des femmes ayant bénéficié d’un suivi présentiel adapté aux contraintes sanitaires ; 2) Caractériser le niveau de stress perçu, le niveau de littératie et de littératie numérique en santé des femmes, le rythme des consultations et les issues postnatales au sein de chaque groupe.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]